Taka Lamugan, une nuit dans l’atoll. Une balade sur le récif, entrés par l’est, nous ressortons par la passe ouest.

Pulau Jinato , grâce à « Our Dreamtime » nous savons où mouiller. Il faut trouver le patch de sable pour poser l’ancre au milieu de tout ce corail. Nous n’allons pas à terre. Pourtant le village ne doit pas voir beaucoup de monde.

Our DreamTime est descendu à terre et quelqu’un leur a réclamé de l’argent pour le mouillage. Nous sommes à côté de parcs à poissons ravitaillés en fin de journée par les pêcheurs.

Pulau Laut, un petit paradis, quelques barcasses de pêche et quelques abris-huttes pour la nuit. Beaucoup de déchets sur le sable.

La couleur de l’eau est extraordinaire, la température plus qu’agréable, je m’y baigne toute habillée avant que des pêcheurs nous rejoignent pour nous offrir du poisson « Ikan Ikan « ? Mais ce sont des poissons volants, «  terima kasih ». Nous leur demandons de nous suivre et leur offrons un body, du fil de pêche et des hameçons, ( merci à Robinson rencontré à Bora Bora qui nous a laissé du matériel que nous offrons au fur et à mesure de nos escales).

 

Filtrage de l’essence pour le moteur hors-bord dans des filtres à café. La nourrice a passé quelques minutes retournée. Nous avions amarrée l’annexe sous la terrasse d’un restaurant à Wanci Wanci et l’avions retrouvée pleine d’eau, nourrice flottant à l’envers, heureusement de l’eau propre. Et depuis le carburateur du 4 chevaux tousse un peu après cette baignade forcée.

Bonerate. Difficile de mouiller, nous sommes vite sur le corail qui protège le village.

Deux pêcheurs nous abordent, comme nous disons bonjour ou bonsoir en bahasa indonésien,  ils sont persuadés que nous parlons leur langue.

La nuit est assez calme. Nous voulons voir le chantier de construction de bateaux en bois.

Au matin nous allons à terre ; embarquement des chevaux.

Sur la plage, des détritus partout. Les courants et leurs habitudes de vie mènent à un entassement de déchets, nous sommes étonnés de ne pas croiser des rats. Eric est déçu de constater que le chantier est en fait un lieu de travail où chacun construit son propre bateau, certains ont connu un revers de fortune et les plus grandes coques sèchent au soleil et ne navigueront jamais.

Pas de métal pour la construction, chevilles en bois seulement.

Moi je me lasse un peu et je décide d’aller acheter du pain, «  roti » . Il n’y a qu’une rue dans le village et je me fais des copines. L’une d’elles m’emmène chez une amie qui ouvre son garage et me vend du pain brioché.

    

Pour ne pas faire de jalouses, j’achète aussi des gâteaux à la couleur rose orange.

Je refuse gentiment les poissons proposés sur le plateau.

Une épicerie.

Puis le conducteur d’un scooter s’arrête pour me proposer un  « lift » jusqu’au quai. Avec plaisir.

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